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Les cours
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Patrick AMAR (LRI,
Université Paris-Sud)
Pascal
BALLET (Université de Bretagne Occidentale)
Simulation facile en biologie avec BioDyn 3D: tutoriel et exemples (ATELIER DEMO)
Switch
du phage lambda, structure fractale d'une colonie de bactérie,
pseudo-cycles d'un système proies-prédateur, co-developpement de 2
tissus cellulaires, etc
Jacques
DEMONGEOT (AGIM, Université de Grenoble)
Stéphane DOUADY
(MSC, CNRS)
La physiologie du vivant : une stabilité statistique ou chaotique ?
Sur un modèle minimal d'une cellule vivante, quel effet a la redondance des réactions chimiques.
Jean-Pierre
FRANCOISE (LJLL, Université Pierre et Marie Curie)
Les systèmes dynamiques multi-échelles au voisinage de leur variété critique
variété critique, hyperbolicité et persistance, points non
hyperboliques, formes normales et éclatements, applications aux
oscillations en biologie, accrochage des fréquences dans les systèmes
multi-échelles forcés.
Serge
GALAM (CNRS)
Propagation d'opinions minoritaires
Albert
GOLDBETER (Université Libre de Bruxelles)
Rythmes
et chaos dans les systèmes biochimiques et cellulaires
Yannick KERGOSIEN (Université de Cergy Pontoise)
Topologie et
Biologie du développement: le projet thomien
Giuseppe LONGO
(ENS-Paris, CNRS)
Changements critiques de symétrie et aléatoire : quelques aspects biologiques
Fernando PERUANI
(Université de Nice - Sophia Antipolis)
La modélisation de
l'auto-organisation bactérienne sans chimiotactisme, un changement de
paradigme pour comprendre le vivant: "la matière active"
Jacques-Alexandre
SEPULCHRE (INLN,
Université de Nice - Sophia Antipolis)
Etats quasi-stationnaires, multistabilité, bifurcations critiques et sous-critiques dans la signalisation cellulaire
Franck
VARENNE (Université de Rouen)
Biologies théoriques et modèles face aux complexités du vivant
Ce cours se propose de dégager l’esprit qui animait
certaines des œuvres sources qui peuvent aujourd’hui aider à comprendre
la variété des biologies théoriques et des approches par modèles dans
l’étude des phénomènes du vivant, en particulier dans l’étude des
phénomènes de croissance et de morphogenèse. Remontant aux travaux de
Lotka, Rashevsky, Woodger et Rosen, cet exposé sera de nature
principalement historique, épistémologique et comparative. Les
questions directrices en seront les suivantes : dans quelle mesure
peut-on parler d’une diversité de biologies mathématiques, de
biophysiques et de biologies théoriques ? Comment chacune de ces
approches a-t-elle conçu - et conçoit-elle encore - les complexités du
vivant et, conséquemment, les rôles des modèles face à ces
complexités ?
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